Arc de Triomphe de l'Etoile
Monsieur le Rédacteur,
Vétéran de l'ancienne armée, j'ai voulu d'après les annonces pompeuses du Moniteur, du village à vingt lieues de Paris où je demeure depuis 1816, venir contempler le monument élevé à la gloire des armées dans lesquelles j'ai combattu pendant vingt ans sept mois dix jours ainsi que le constate l'état de mes services arrêté par les bureaux de la guerre, visé par le conseil d'état et inséré au Bulletin des Lois n° 238 7e série.
Mais quel a été mon désappointement en voyant une partie de ce monument consacré à la paix de 1815 ! Quoi donc ? Me suis-je dit, le roi des barricades trouverait-il le souvenir de cette paix, qui nous a imposé un souverain repoussé par les efforts de deux générations consécutives de braves, digne d'être transmis à la postérité ? C'est impossible ! C'est une mystification ou aussi bien pour les hommes de juillet que pour les vétérans de la république et de l'empire ; c'est une satisfaction accordée par un ministre hypocrite aux émigrés et qui ressemble trop à la métamorphose de la colonne de la grande armée à Boulogne en ex voto pour le retour de Louis XVIII, et à l'érection de la pyramide expiatoire de Quiberon. Que dans leur bonhommie les partisans du juste-milieu estiment qu'il soit sage de respecter le traîté dicté à la France par l'Europe en colère, je le conçois ; mais qu'il faille éterniser ce pacte par un monument, voilà ce que ma raison repousse avec tous ceux qui ont encore une goutte de sang à verser pour la liberté et l'indépendance de la nation.
On m'objectera peut-être que la pensée qui a présidé à l'érection du monument serait tronquée, incomplète, si la résistance et le triomphe n'aboutissaient à la paix, base et fin de toutes les gloires ; qu'un monument ne saurait être boiteux, que l'ordonnance symétrique des décorations exige impérieusement comme la raison qu'on consacre un groupe et un bas-relief à la paix Je ne conteste assurément aucun de ces points, mais je demande si la nécessité d'achever l'arc était telle qu'on dût pour le terminer plus vite donner un démenti à l'histoire ? La paix dont nos hommes d'état sont si fiers n'est qu'une fiction usée ; la lutte qui s'est engagée en 1789 et qui a allumé la guerre en 1792 subsiste toujours entre les souverains et les peuples. On a pu croire qu'elle était terminée à la restauration, elle n'était qu'assoupie ; depuis 1830, elle s'est réveillée avec plus de force et menace de nouveau les trônes et les autels. Dans cet état de choses, mieux aurait valu, ce me semble, laisser les quatre faces de l'arc sans ornement, sauf à y faire sculpter plus tard les emblèmes et les attributs d'une paix glorieuse et plus durable que la trève de 1815.
En jetant les yeux sur les victoires inscrites dans les boucliers de l'attique, j'ai été fort étonné de ne pas voir Toulon. La reprise de cette place a eu pourtant une autre influence sur les destinées de la France que la bataille de Jemmapes : elle a révélé ce qu'on pouvait attendre de nos jeunes bataillons lorsqu'ils seraient conduits par des hommes de génie. Jemmapes nous a livré, il est vrai, les clés de Bruxelles, mais cet avantage a été suivi de trop près de l'échec de Neerwinden pour être envisagé comme une victoire décisive. Lodi est une affaire qui a fait ressortir le courage des généraux et des troupes, mais dont la perte n'eût pas entraîné l'évacuation de l'Italie par l'armée française ; quant à Esslingen, c'est une de ces boucheries à l'issue desquelles chacun des partis revendique la victoire. Enfin Somo-Sierra est un combat qui n'a pas plus avancé les choses en Espagne que la prise de Madrid, laquelle par parenthèse, n'est mentionnée nulle autre part.
Dans les quatre séries de victoires secondaires, nous avons remarqué aussi beaucoup d'omissions et d'inexactitudes. Par exemple, dans le théâtre de guerre du Nord, on a omis la capitulation de la citadelle d'Anvers, par laquelle s'ouvrit d'une manière si brillante la campagne de 1793, le déblocus de Dunkerque qui préluda à la bataille d'Houdscoote, le passage de l'Ourthe et de l'Ayvaille, la prise de Coblentz etc. ; tandis qu'on cite le combat d'Arlon qui ne fut qu'une affaire de poste sans importance et la bataille d'Amberg perdue par l'armée de Sambre-et-Meuse. Parmi les faits d'armes éclatants qui se sont passés sur le théâtre de l'est, pourquoi ne voit-on pas le combat d'Aalbeck qui compléta avec ceux de Wertingen et et de Guntzbourg, la défaite de l'armée de Mark en 1805, le combat de Laguenau où la division Klein prit 3000 Autrichiens, tandis qu'on rappelle les combats de Waloutina et de Wurschen complémentaires inévitables des journées de Smolensk et de Bautzen ? Sur le massif du sud, on cherche en vain la prise de Nice, celle de Saorgio, le passage du Pô, l'affaire de Samanhoud où Desaix décida la conquête de la Haute-Egypte, et l'on cite le combat de Bassiguano, simple reconnaissance, le passage du Mincio, véritable échauffourée, Gênes dont la défense rappelle de beaux faits d'armes, mais pas une victoire proprement dite. Dans le massif de l'Ouest, on ne voit ni la reprise de Bellegarde, ni la conquête de Figuères, qui nous mit pied en Espagne en 1794, ni la bataille de Medina del Rio Seco qui balança si utilement pour nous l'effet de la capitulation de Baylen.
Il n'y a pas plus d'exactitude dans le dénombrement des armées que dans celui des victoires ; car sans compter l'armée du Var, qui n'était en 1800 comme en 1792 que celle d'Italie, les trois armées des côtes de l'Ouest, l'armée de Hanovre qui a fait une campagne l'arme au bras, l'armée de Rome qui n'a combattu que les soldats du pape, le camp de Boulogne qui n'était qu'un simple rassemblement, la France n'a-telle pas eu sur pied, en 1793 et 94 l'armée des Vosges, en 1797, 98 et 99 l'armée d'Angleterre, en 1801, 1802, 1803 l'armée de Saint-Domingue, en 1809 l'armée des Bouches-de-l'Escaut, et à différentes époques plusieurs autres dont les travaux méritent d'être transmis à la postérité ?
Ces erreurs, ces omissions témoignent au moins du défaut de discernement, si ce n'est de l'ignorance, de ceux qui ont été chargés des inscriptions.
Mais ce qui fait monter la rage au front des vétérans, ce sont les listes des généraux placardées sur les faces intérieures des quatre massifs des petits arcs. Dans un monument élevé à la gloire des armées françaises, je m'imaginais, moi, que tout devait être emblématique, allégorique. Une sévérité mâle et bien entendue défendait d'y inscrire d'autres noms que ceux des capitaines célèbres de la vaillante armée desquels la patrie est privée. A ce titre, on n'y devait lire que les noms de Dugommier, Hoche, Marceau, Kléber, Desaix, morts au sein de la victoire ; de Jourdan, Masséna, Brune, Davoust, qui délivrèrent par de grandes batailles la France d'une invasion imminente ; de Saint-Cyr et Suchet, dont les commentaires valent les campagnes ; de Lannes et de Ney, généraux de bataille à illuminations soudaines. Lorsqu'après la révolution de 1830, on destina le Panthéon à recevoir les dépouilles mortelles de ceux qui auraient bien mérité de la patrie, on décida que nul n'y serait déposé que 10 ans après sa mort, et tout le monde applaudit à cette sage mesure. Il paraît que le ministère est d'opinion qu'une inscription sur l'Arc-de-Triomphe n'a pas pour la postérité les conséquences d'un enterrement au Panthéon ; il y a fait graver les noms de tous ses amis vivants, sans les astreindre aux formalités de la mort et du temps. A la bonne heure ! Mais ainsi combien de ses élus malgré leur illustration prématurée ne pourront se faire ouvrir plus tard les caveaux du temple ! Qui veut trop prouver, ne prouve rien. La révolution a sans doute éveillé dans l'armée des passions nobles et fières ; elle a improvisé une foule de généraux qui ont mérité en masse la reconnaissance de la nation, mais auxquels elle ne doit rien en particulier que la considération due à de bons services. J'estime qu'elle aurait acquitté plus convenablement sa dette, en mettant moins de parcimonie dans la fixation de leur retraite et en les garantissant contre les insultes que font pleuvoir sur eux de la tribune des avocats avides et jaloux, qu'en gravant leurs noms sur le marbre et la pierre.
En cherchant à deviner la pensée qui a pu déterminer ces bizarres et incohérentes inscriptions, on ne tardera pas à se convaincre qu'elles n'ont pas été arrêtées dans un but moral ou patriotique. Si le ministère qui les a ordonnées avait eu la moindre pudeur, aurait-il placé Dumouriez, Pichegru, Willot, Marmont, et ces deux autres ingrats couronnés au nombre des défenseurs de la patrie ? De même qu'il ne suffit pas d'avoir caressé dans son enfance le sein de sa mère pour être réputé bon fils, il ne faut pas s'arrêter au début trompeur de ces parricides. Or, si leurs premiers faits d'armes nous ont procuré quelques avantages, personne n'a perdu la mémoire des revers dont leurs noires trahisons ont été suivies. C'est aux rois dont ils ont épousé la querelle, augmenté le nombre des trophées, à leur élever des monuments. La France ne doit à ces enfants dénaturés que le silence et le mépris.
On n'attribuera pas non plus à un sentiment exagéré, mais réel, de reconnaissances ces nombreuses inscriptions. Elles contiennent trop de généraux vivants et obscurs, trop peu de généraux distingués, morts ou en retraite, pour avoir été dictées par un sentiment généreux et exempt de calcul. Ignorent-ils donc ceux qui les ont ordonnées, qu'on peut passer pour très habile dans une inspection, très disert dans un comité, très dévoué dans l'une ou l'autre chambre, et cependant n'être qu'un général fort pâle et d'une valeur équivoque sur le champ de bataille ? L'intention du ministère n'a pu être non plus de présenter un contrôle des généraux qui ont commandé pendant 23 ans devant l'ennemi, car ses listes ne comprennent pas le sixième de ceux qui devraient y figurer. En rappelant mes souvenirs, j'ai formé une liste aussi longue que les siennes, des généraux de division seulement qu'il a passé sous silence. Je la joins à ma lettre et m'engage à vous fournir, pour l'édification du public, dans le cas où cela vous conviendrait, une notice biographique sur la vie militaire de chacun d'eux. On verra que la plupart de ces généraux oubliés ont de plus beaux services que quantité de ceux choisis par le ministère.
Encore quelques observations.
Puisqu'on a inscrit les noms de Barbantane, de Flers, de Miranda et de Delbecq, qui n'ont eu qu'une existence éphémère en 1793 comme généraux en chef, pourquoi avoir omis ceux de Labourdonnaye, de Carteaux, de Doppet, de Daoust, connus au même titre ? Daoust a même acquis une funeste célébrité de plus que les premiers. Il a porté sa tête sur l'échafaud comme Custine, et à la même époque, pour avoir laissé échapper, dit-on, l'occasion de vaincre.
On a inscrit les généraux italiens Severoli et Bertoletti, et on a omis les généraux Pino, Mazuchelli, Palombini et Fontana qui ont toujours combattu à côté de nos légions. Une mémoire plus fidèle eut fourni l'occasion de revendiquer pour la France un nom de plus, car le général Fontana est un de ses enfants. C'est avec peine qu'on observe que les noms des généraux polonais Sokolniki et Kraezinski, ainsi que celui du général bavarois Deroi, qui mourut des suites des blessures reçues à Polotosk ne sont pas au nombre des étrangers de distinction qui ont tiré l'épée pour nous.
Du reste, il règne une telle obscurité dans les listes, qu'on est en droit de demander au gouvernement s'il a entendu inscrire le maréchal Rochambeau, à l'exclusion de son fils qui a été tué à Leipzig en 1813 ; le maréchal Kellermann ou son fils, qui décida la victoire de Marengo par une charge de cavalerie spontanée ; le général Beauharnais père ou son fils Eugène vice-roi d'Italie ; le maréchal Lefebvre ou le général Lefebvre-Desnouettes ; Boyer (Pierre) ou Boyer (Charles) ou Boyer de Rebeval ; le général Caulaincourt tué dans la grande redoute de la Moskowa, ou son frère le diplomate ; Dumas (Mathieu) le conseiller de tous les pouvoirs, ou Dumas (Alexandre), ce vaillant mulâtre ; Gouvion, tué en 1792, ou Gouvion le sénateur ; Haxo l'infatigable adversaire de Charette, ou son neveu le prisonnier de Kulm ; Lanusse l'Égyptien, ou son frère le dévôt de Besançon ; le comte Etienne Legrand, ou le général Claude-Just-Alexandre Legrand ; Morand le comte ou Morand le baron ; Muller (Léonard) ou Muller (François) ; Rivaud (Olivier) ou Rivaud jeune. Quand la patrie accorde les honneurs du triomphe, encore faut-il que les contemporains ne puissent se méprendre sur les généraux à qui ils sont décernés.
Je me résume, M. le rédacteur. L'Arc-de-Triomphe inauguré par M. Thiers, est un monument qui ment à sa destination ; il éternise le souvenir d'une paix honteuse ; il ne rappelle pas toutes les victoires qui ont illustré la période la plus brillante de notre histoire, et décerne les honneurs du triomphe, non pas seulement à des individus qui en étaient indignes, mais encore à de grands criminels.
Maintenant, si l'on me demande ce qu'il convient de faire pour rendre à l'Arc-de-Triomphe son véritable caractère, je repondrai qu'il faut : 1° enlever le groupe de gauche de la face de Neuilly, par M. Etex, ainsi qu'une partie du bas-relief qui règne dans la frise du grand entablement, et l'art n'y perdra pas grand chose ; 2° effacer tous les noms des généraux qui sont dans les quatre massifs des petits arcs, et les remplacer par les noms de victoires secondaires et de 13 à 14 généraux vraiment illustres ; 3° faire graver sur des tables d'airain qui seront placées dans la grande salle, qu'on m'a asssuré avoir été inaugurée dans le monument, des états de situation des diverses armées, aux époques les plus glorieuses de leur existence, conformes aux originaux qui sont probablement déposés au dépôt de la guerre. La confection de ces tables ne coûtera certainement pas 400 mille francs et en même temps qu'elle fera taire toutes les réclamations des amours-propres injustement froissés, elle mettra la vérité historique dans son vériable jour, en donnant, non-seulement le nom des généraux de division et de brigade, des officiers d'état-major et des chefs de corps et de détachements, mais encore le nombre et la force des corps qui entraient dans la composition de chaque armée.
Recevez, M. le Rédacteur, l'assurance etc.
Liste par ordre alphabétique des généraux de division de la République et de l'Empire dont le nom n'a pas été porté sur l'Arc-de-Triomphe de l'Etoile
Albignac (les)
Alméras
Albert
Allix
Amiey
Arçon (d')
Anthouard (d')
Arrighi
Aubri
Bachelu
Baydetanne
Balland
Barthel
Barlaure
Beaurevoir
Béguinot
Belair
Bergmayer
Berckheim
Berthelmy
Berneron
Belemont
Blondeau
Bonnaire
Borghese
Boucret
Boussard
Bourke
Briche
Bachiochi
Bordessouelle
Brun
Boyeldieu
Beaufort
Non compris le représentant Barras qui a commandé quelques jours l'armée de l'Intérieur, Bourmont le déserteur.
Caffin
Carlenc
Carle
Carnot (Feulins)
Carteaux
Careil
Castelvert
Casabianca (les)
Chabot
Chalbos
Chambarlhac
Chapsal
Charlet
Châteauneuf-Randon
Clément de la R.
Coincy
Commaire
Coppel
Cordelier
Courtot
Coustard-Saint-Lo
Castex
Charbonnel
Conchy
Casagne
Chemineau
Non compris Clarke, qui n'a commandé qu'un escadron une seule fois à l'armée du Rhin, et Canuel qui s'est deshonoré en 1815.
Delanoue
Daendels
Daoust
Davaisnes
Debelle
Debrun
Declaye
Defrance
Dejean
Delaistre (Tilly)
Dembarère
Desbureaux
Descloseaux
Desfourneaux
Despréaux
Desaix
Delaaine
Derwinther
Doppet
Doumerc
Dours
Drut
Dubayet
Dubois Crancé
Duchène
Dulaulay
Dumonceau
Dumoustier
Dumny
Duquesnoy
Duroc
Durosnel
Dutaillis
Duteil
Dietmann
Desnou
Dériot
Dessein
Desdoride
Dièche
Destournel
Dupont Chaumont
Darmagnac
Drouot
Non compris Dupont de Baylen.
Elie
Espinassy de L
Non compris Ernouf mis en jugement pour lâcheté, absous par Louis XVIII.
Faultrier
Fauret
Favart
Favereau
Foy
Fiorella
Fontane
Fontanelli
Fontbonne
Foucher
Frezia
Fraytag
Fromentin
Fournier Sarlovèse
Flahaut
Friederichs
Non compris Foissac Latour, rayé des contrôles pour avoir rendu Mantoue.
Gassendi
Gentili
Gimel
Girardon
Grillot
Guyot (les)
Garnier
Grandeau
Girardin
Gency
Hastrel
Hogendorp
Huché
Huet
Hulin
Humbert
Hédouville
Hamelinaye
Hénin
Jacob
Janssens
Jacquinot
Jeanin
Kraezinski
Kellermann
Krieg
Labarollière
Labayette
Laborde
Labourdonnaye
Lacombe St-Michel
Laclos-Chauderlos
Lamorlière
Lamartelière
Lamartinière
Lapeyrière
Laprun
Laronde
Lasacette
Laurent
Lazowski
Leblanc
Leclaire
Lemarrois
Lemonnier
Lequoy
Lery
Leval
Lhuilier
Liebert
Lebrun
Lacroix
Lenoury
Latrille
L'Héritier
Lafond-Blaniac
Lefol
Laplane
Laferrière-Lévêque
Lameth
Ledoyen
Levavasseur
Lauberdière
Macors
Macquart
Magallon-Lamorlière
Marulaz
Massin
Massol
Mauco
Mayer
Mazuchelli
Mengaud
Méquillet
Meynier
Micas
Milet-Mureau
Milet
Mons (le comte de)
Montaigu
Montigny
Montredon
Montrichard
Morlot
Motte
Mouret
Mouzin
Musnier de la Converserie
Michel
Monthion
Merlin
Non compris Monet destitué par jugement pour avoir rendu Walcheren.
Narbonne (le comte de)
Noguès
Neuwinger
Neigre
Neuhaus
Olagnier
Omoran
Ordener
Ornano
Outremont
Palombini
Pelleport
Parant
Pépinville
Pernetti
Petit-Guillaume
Pierron
Pille
Pino
Piston
Poitevin
Pommereul
Puthod
Piré
Pécheux
Pajol
Raffinière (de la)
Ravel
Razout
Renauld
Rewbell
Rivaud (les)
Robert
Robin
Roget
Rossi
Rousseau
Rouyer
Ruty
Roussel d'Hurbal
Rottembourg
Saint-Germain
Saint-Laurent
Saint-Rémy
Sanson
Sarrut
Saultre
Scherb
Seroux
Siscé-Bressolles
Silnières
Soulès
Sugny
Sokolnicki
Subervie
Sarmain
Toulongeon
Taviel
Tharreau
Thisson
Trelhiard
Tribou
Tracy
Thouvenot
Tirlet
Urtubie (d')
Vachot
Valée
Vedel
Verdières
Vidalot-Dusirat
Vignolle
Vilatte
Villemalet
Vimeux
Vincent
Vouland
Veau
Vandermaesen
Vattier Saint-Alphonse
On a inscrit le nom de Frégeville ; il y a deux généraux de ce nom. Est-ce Pierre ou Charles qu'on a voulu honorer ? Nous ferons la même question pour les noms de Corbineau et d'Haxo : qui a-t-on voulu désigner, du Corbineau mort ou du Corbineau vivant, de l'intrépide Haxo tué en Vendée, ou de son neveu l'officier de génie ?
- Figaro du 14 octobre 1836 : https://gallica.bnf.fr/
ark:/12148/bpt6k268577n/f4.item
- Le siècle du 6 octobre 1836 : https://gallica.bnf.fr/
ark:/12148/bpt6k718413k/f3.item
Cliquer ensuite sur l'onglet Télécharger pour lire l'article dans son entier.